Un seul mais lequel?...C' est très émouvant cette confusion et cette anxiété qui se sent dans le discours" hâché", l' artiste a peut être détruit un chef d' oeuvre ,comme tant d' autres(Musset a brûlé un grand nombre de ses poemes, heureusement, la nuit de décembre n' en était pas)Les critiques les plus sévères sont souvent les artistes avec eux mêmes, je souffre autant que pour un deuil en pensant à ces merveilles mort nées, comme les manuscrits d' aristote que les moines du Mont Athos utilisaient pour emballer les épluchures!
Giacometti, comme vous le savez orfeenix avait du mal à " achever " ses sculptures et comme l' indique un autre sens de ce mot de les " tuer " . D' où cette énorme responsabilité de la suspension, de l' achèvement de l' oeuvre sur ses épaules. Et l' oeuvre d' une certaine façon porte les hommes dans leur vie propre d' incertitude. Alors confiance au lever du jour, confiance à l' oeuvre achevée, confiance aux promesses du futur nouvel an de l' art qui est la vie !
Les fins ne sont jamais des fins pourquoi le mot défunt dans l'idée de l'oeuvre déjà le rhizome peut être dans une nouvelle tête pourquoi pas... pas de tour de Babel dans l'Art simplement une immense échelle qu sort d'un puit sans fond barreau après barreau pour transcender le temps, les espaces la création sans l'image même d'un créateur le socle des humains
Votre image de l' échelle issue d' un puits sans fond est des plus suggestive Laurence et elle nous relance vers Bosch, Topor ou Magritte. Vous êtes une visuelle, votre blogue le montre spectaculairement !
Il existe des élans nocturnes qui nous pousseraient à nous lever pour donner pleins pouvoirs à la créativité. Mais le corps a ses faiblesses. Peut-être cette "créativité" restera ancrée dans nos rêves jusqu'au prochain réveil ... (j'en ai écrit de beaux textes sous la couette qui les a aussitôt étouffés !)
Bienvenue Saravati ! Vous avez bougrement raison, cette concentration du demi sommeil est propice à des fulgurances d' images et de pensées que l' on ne perçoit hélas plus au réveil. Restent des bribes, des brimborions, comme un repas de fêtes sur une table en train d' être dégarnie. Je vais consulter votre blogue que je ne connais pas ( je suis jeune sur la toile et navigue à vue ! ) A bientôt.
la nuit, il vient souvent des idées...mais sont-elles les bonnes ?...une toile n'est -elle jamais terminée? Trop de questions sans réponses!!!pffffffff...Pour ma part, modestement, j'ai les idées plus claires le matin au réveil!
Un seul mais lequel?...C' est très émouvant cette confusion et cette anxiété qui se sent dans le discours" hâché", l' artiste a peut être détruit un chef d' oeuvre ,comme tant d' autres(Musset a brûlé un grand nombre de ses poemes, heureusement, la nuit de décembre n' en était pas)Les critiques les plus sévères sont souvent les artistes avec eux mêmes, je souffre autant que pour un deuil en pensant à ces merveilles mort nées, comme les manuscrits d' aristote que les moines du Mont Athos utilisaient pour emballer les épluchures!
RépondreSupprimerGiacometti, comme vous le savez orfeenix avait du mal à " achever " ses sculptures et comme l' indique un autre sens de ce mot de les " tuer " . D' où cette énorme responsabilité de la suspension, de l' achèvement de l' oeuvre sur ses épaules. Et l' oeuvre d' une certaine façon porte les hommes dans leur vie propre d' incertitude. Alors confiance au lever du jour, confiance à l' oeuvre achevée, confiance aux promesses du futur nouvel an de l' art qui est la vie !
RépondreSupprimerLes fins ne sont jamais des fins
RépondreSupprimerpourquoi le mot défunt
dans l'idée de l'oeuvre déjà le rhizome
peut être dans une nouvelle tête
pourquoi pas...
pas de tour de Babel dans l'Art
simplement une immense échelle
qu sort d'un puit sans fond
barreau après barreau
pour transcender le temps, les espaces
la création sans l'image même d'un créateur
le socle des humains
Votre image de l' échelle issue d' un puits sans fond est des plus suggestive Laurence et elle nous relance vers Bosch, Topor ou Magritte. Vous êtes une visuelle, votre blogue le montre spectaculairement !
RépondreSupprimerIl existe des élans nocturnes qui nous pousseraient à nous lever pour donner pleins pouvoirs à la créativité.
RépondreSupprimerMais le corps a ses faiblesses. Peut-être cette "créativité" restera ancrée dans nos rêves jusqu'au prochain réveil ... (j'en ai écrit de beaux textes sous la couette qui les a aussitôt étouffés !)
Bienvenue Saravati !
RépondreSupprimerVous avez bougrement raison, cette concentration du demi sommeil est propice à des fulgurances d' images et de pensées que l' on ne
perçoit hélas plus au réveil. Restent des bribes, des brimborions, comme un repas de fêtes sur une table en train d' être dégarnie.
Je vais consulter votre blogue que je ne connais pas ( je suis jeune sur la toile et navigue à vue ! )
A bientôt.
la nuit, il vient souvent des idées...mais sont-elles les bonnes ?...une toile n'est -elle jamais terminée? Trop de questions sans réponses!!!pffffffff...Pour ma part, modestement, j'ai les idées plus claires le matin au réveil!
RépondreSupprimerOn est bien d' accord, dès le réveil tout notre être est en éveil ! Et l' intendance suivra .
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