Ce lac de rue,grumeau de goudron dans la tôle et les plaques
le jaune et le rouge pour la circulation,
notre oeil pour la gestation enrolée d'air vif,
à nu continue le ruisseau d'ombre,
le feuillage d'incertitude.
Brise domestique déplacée en pot!
De la balustrade de fonte à l'oeillet
frise la pierre d'en-face
avec tiges et troncs noués de vitesse citadine
de tangage ciselé feuilles volantes,agrestes mouchoirs
de départ ou d"arrivée.
Maintenant, le bruit en rade à la remorque du lendemain déjoué,
des piétons en forme de bleu du jour.
Qu'elle soit dessin, poème ou simple texte, la production née de réflexions abstraites et de mises en scènes métaphoriques, restera toujours pour moi, le cartésien binaire, (double peine), une source illuminatrice devant laquelle je reste le plus souvent ébahi, tant m'apparaît inaccessible la pensée de l'artiste.
RépondreSupprimerMais lorsque, par hasard, ou parfois par volonté farouche de déchiffrer les images qui se cachent derrière les mots, quand la réflexion abstraite finit par devenir vérité, alors les images deviennent paysages et la mise en scène métaphorique révèle alors toute la profondeur de pensée de l’artiste. C’est sans doute à ce moment là que l’on commence à parler d’œuvre…
J'attends le déploiement de votre blog qui à l'air bien parti ... A bientôt!
RépondreSupprimerMerci de vos encouragements Artemisia!
RépondreSupprimer@Jacques,le spécialiste de l'informatique, mon salut aux proches et à La Baule!